3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 10:42

Photo que j'avais prise l'été dernier tout près de la cathédrale.........(la date est indiquée sur ma photo ! ! !)



On peut y prendre place pour faire le tour de la ville......

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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 20:09

   Peu importe ce que la vie vous amène........
   même si elle vous semble laborieuse et ardue.......

                  



Souvenez-vous..... il y a toujours de la lumière au bout du tunnel  ! ! !

 

                            Excellente journée.

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 05:58



En breton on dirait : "KOGIG", je ne certifie pas l'orthographe.........


 
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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 04:54




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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 14:30




Même mes "galets" ont les couleurs de la faïencerie de Quimper ! ! !
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27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 06:20


"Trois siècles d'histoire, de passion et de savoir faire"

Au XVIIe siècle, Locmaria, un petit village sur les bords de l'Odet, serré autour de son couvent et doté d'argile, d'eau (rivière très navigable) et de bois pour la cuisson, a déjà son échoppe, "la Poterie du prieuré". C'est là que Jean-Baptiste Bousquet (puis son fils, maitre faïencier), originaire de la région de Moustier, reprend les fours de l'atelier et démarre la tradition de la faïence de Quimper. Si à l'origine, la faïence de Quimper ressemble à celle d'autres régions et notament à celle de Rouen, à dominante bleue, le style breton s'impose dès le début du XIXe siècle avec des décors inspirés de la vie quotidienne (le petit breton glazik
 en costume traditionnel,

 la bretonne en coiffe et les décors floraux toujours reproduits aujourd'hui) qui semblent extraits des broderies des gilets traditionnels bretons. Ce style rencontre rapidement un grand succès populaire et contribue beaucoup à la renommée de la ville.
La marque HB (La Hubaudière Bousquet) va devoir composer avec la concurrence. 1776 et 1791 voient la naissance de 2 autres faïenceries à Quimper : Dumaine qui deviendra Henriot et Eloury qui deviendra Porquier. En 1906, Henriot achète Porquier. Il ne reste alors que 2 manufactures. Suite à difficultés financières, Henriot fusionne avec HB à la fin des années 1960.
Un hollandais reprend les faïenceries de Quimper en 1984 avant d'être rachetées, en 2003, par un quimpérois d'origine : Pierre Chiron.
Aujourd'hui encore, les techniques traditionnelles ont été conservées. Chaque pièce est décorée à main levée et signée par l'artisan qui l'a réalisée. Une fois le décor peint, la pièce est immergée dans une solution d'émail liquide transparent. Puis elle est cuite dans un four chauffé à 1030° C pendant 40 minutes. 
Aujourd'hui, 85 personnes travaillent au service des faïenceries et perpétuent le savoir-faire avec un objectif : tradition, création, innovation.... 

                                                   C'est ........enfin, c'était mon bol Henriot.........en le prenant en photo il a chu  et s'est brisé ; il ne me reste que ce morceau ! ! ! ! (On voit le bol, encore entier,  sur la photo du haut entre la cafetière et la théiére). Il avait......un certain âge  ; dommage ! ! ! 

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23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 16:32

Intrigués par l'objectif ces moutons ? ? ? 

Essayez de lire ce qu'il est écrit sur la carte postale.....j'y rajoute quelques anotations après......



Je rajouterai sur les moutons aux oreilles percées : Chaque famille marque ses bêtes aux oreilles et sa marque est répertoriée sur un registre à la mairie . Le 1er mercredi de février, les ouessantins, munis de cordes, viennent reconnaître et chercher leurs moutons rassemblés dans un enclos. C'est la foire aux moutons.......Les brebis sont prêtes à agneler et il est temps de les ramener près de la maison. 
Chaque propriétaire paye un prix modique par tête de mouton (2 à 3 €), pour les récupérer ce premier mercredi de Février.
Ensuite, à la St Michel, les moutons relachés vivent en totale liberté jusqu'au début février. Les troupeaux du nord et du sud, du fait de la division centrale de l'île, se mélangent rarement. Les ouessantins perpétuent encore de nos jours cette tradition à laquelle ils restent très attachés.
  

 
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19 mars 2009 4 19 /03 /mars /2009 06:29

               Un compliment est un rayon de soleil....verbal

                        
                                                                                                                   Robert Orben

  Bonne journée ensoleillée..... 
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17 mars 2009 2 17 /03 /mars /2009 07:46

De mon île d'origine, Ouessant,  je garde en souvenir, entre autres, la recette de ce fameux ragoût dans les mottes ; mes papilles se souviennent encore de ce goût du ragût de ma grand-mère ! ! ! Les restaurants de l'île ont, toujours, dans leur carte de menu, ce plat typique et très particulier.....  

                                          

Recette du ragoût d'agneau présalé
(pour 10 personnes)

 

2 kg de poitrine et d'épaule d'agneau

750 g de carottes, 1 kg de pommes de terre,

3 ou 4 oignons, 1 gousse d'ail,

beurre, bouquet garni, sel, poivre,


Dans une poêle, faire rissoler la viande dans la matière grasse, puis l'enlever,

La remplacer par les légumes, les pommes de terre ; les faire dorer, saler, poivre,

Prendre une cocotte en fonte et la garnir de la façon suivante :

- déposer la moitié des pommes de terre, les légumes, la viande, le bouquet garni, le reste de     pommes de terre

- mouiller copieusement d'eau ou de bouillon de viande.
- fermer la cocotte, Laisser cuire quatre heures minimum, dans les mottes chaudes,


             Mais les "mottes" qu'est-ce ? ? 
                                 

Au bord de
la mer, là où la végatation est rase, ces morceaux de gazon ou de bruyère, sont détachés à l'aide d'une "mar" (bêche spéciale). Après avoir été découpés, ils sont retournés plusieurs fois, séchés sur place et enfin remisés dans les crèches.
A ouessant, on cuisine (on cuisinait.... plutôt !!) tout dans les mottes : le poisson fumé, le ragoût d'agneau, le ragoût de berniques, le riz et bien sûr le fars oaled....(j'en parlerai une prochaine fois de ce far dont ma grand-mère était la spécialiste sur l'île).

Comme souvent dans les campagnes, les femmes partaient toute la matinée aux champs et pendant de temps-là le repas dans les mottes cuisait tout doucement.Il était préparé le matin, de bonne heure, et après avoir été mis dans les mottes incandescentes (qui recouvraient entièrement la cocotte noire) dans l'âtre, le feu se consumait tout doucement toute la matinée.
A midi, lorsqu'elles rentraient des champs,  le repas était prêt ! ! ! 

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4 mars 2009 3 04 /03 /mars /2009 22:20

                   


De toute façon je devais partir quelques jours en vacances ........donc je vais aller prendre un grand bol d'air iodé en Bretagne ! ! !

Je te retrouve, ma souris, à mon retour, près de mon clavier....
OK ! ! !













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  • J'aime tout particulièrement la photo (montage, surimpression, etc ...)les vieilles pierres, la Bretagne, l'informatique et ma famille.
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